LE PIEGE: UN JEAN DE FLORETTE MODERNE...

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Quelqu'un vient juste de comparer ma série le piège à un Jean de Florette moderne...En comparant le personnage de Grego au Papet… Il est vrai qu'il y a certaines similitudes, le “piège”, basé sur des faits réels, se passe à Marseille, Sud de la France, même région que dans Jean de Florette, et on y retrouve les mêmes sales mentalités qu'avait si bien su dépeindre Pagnol dans son œuvre. Car je ne crois pas au vu de ses films, si vous les regardez bien, qu'il n'aimait pas les gens de cette région. Le “on ne s'occupe pas des affaires des autres”, alors que tout le monde sait l'horreur qui se passe, devient en fait une non assistante à personne en danger. Grego c'est le papet, l'ordure, le vieux paysan plein d'argent, avare qui se fait passer pour un modeste…Un homme qui a un revenu de près de 10 000 euros par mois, mais qui ne parle que de sa retraite de paysan de 180 euros. Ayant perçu tout son argent, il se lève néanmoins de devant, et laisse l'agence immobilière mafieuse continuer à racketter ses locataires, conduisant le père, (comme Jean de Florette) à un destin funeste… Les voisins lâches connaissant toutes les magouilles qui se passent dans ce voisinage aux dehors calmes, mais au fond très sombre et hypocrite sont comme le villageois qui connaissaient la source mais ont laissé cette famille dans un enfer qui aurait pu être éviter, conduisant le père, tout comme Jean, à un destin sinistre … Bien observé! Jordan. Contact : Jordantatescreenwriter@yahoo.com Someone has just compared my series “the trap”, (le piège) to a modern Jean de Florette ... By comparing “Grego”, the landlord to the Papet in “Jean de Florette”. There are, indeed, some similarities: The “trap”, and I stress that: Based on a true story- takes place in Marseilles, South of France, same region as in “Jean de Florette”, and we notice the same despicable mentalities as those Pagnol described so talently in his work. Because, let's face it, in the light of his films, I don't think Pagnol liked those people and their mentalities very much! The “mind your own business thing” when everyone actually knows the horror happening around them, becomes an offense of non-assistance to persons in danger.
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