LOGEMENT CONTRE SERVICES ANATOMIE D'UNE ARNAQUE: CRITIQUE DES LECTEURS
– « Un témoignage bouleversant et nécessaire »> « Ce livre m’a profondément touchée. Il met des mots sur ce que beaucoup de femmes vivent en silence : l’exploitation déguisée en bienveillance. Jordan Tate raconte sans détour les violences invisibles que subissent les plus précaires. À lire d’urgence pour comprendre les nouvelles formes de domination dans notre société. »
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– « Une alerte sociale bien construite »Hugo M., 27 ans, étudiant en droit
> « J’ai lu ce livre dans le cadre d’un mémoire sur le droit au logement. C’est un parfait exemple de la manière dont certaines personnes utilisent la détresse des autres à leur avantage. On voit bien comment une promesse d’aide peut masquer une emprise psychologique. C’est à la fois un récit personnel et un cas d’école. »
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– « Ce livre m’a permis de comprendre ce que j’ai vécu »Élodie P., 35 ans, ancienne victime de “logement contre services”
> « En lisant les premières pages, j’ai pleuré. Je me suis reconnue dans chaque manipulation, chaque pression. À l’époque, je ne réalisais pas que j’étais dans une forme d’esclavage moderne. Ce témoignage m’a redonné de la dignité. Merci à l’auteure pour son courage. »
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– « Un choc salutaire »Karim D., 55 ans, sociologue
> « Ce livre est un miroir tendu à une société qui abandonne ses plus vulnérables. Derrière les petites annonces alléchantes se cachent parfois des prédateurs psychologiques. L’approche de Jordan Tate est brute, parfois violente, mais elle montre la vérité crue, celle que beaucoup préfèrent ignorer. »
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– « À faire lire à toutes les femmes seules ou précaires »Sophie T., 60 ans, militante associative
> « J’ai distribué ce livre dans mon association. Beaucoup de femmes ne savent pas poser des limites parce qu’elles pensent devoir “être reconnaissantes”. Ce témoignage prouve que la gratitude forcée est souvent le début de l’abus. Le récit est lucide, courageux, et essentiel. »
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– « Trop personnel par moments, mais nécessaire »Julien V., 33 ans, lecteur curieux
> « Par moments, le récit m’a paru très intime, presque trop, mais je comprends que c’est ce qui en fait la force. Ce n’est pas un roman, c’est un cri. Et ce cri mérite d’être entendu. Une lecture inconfortable, mais salutaire. »
Merci!
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